Chez Interac, nous sommes toujours en quêtes de façons d’innover, que ce soit dans l’arène des paiements ou ailleurs. En étant à l’écoute des entreprises canadiennes, qui recherchaient des moyens plus rapides de traiter leurs paiements commerciaux, nous les avons aidées à remédier à cette frustration de longue date.
Nous comprenons ces frustrations additionnelles. Les propos cités dans l’article suivant proviennent de dirigeants d’entreprises et d’organismes sans but lucratif, qui nous ont fourni des observations importantes sur les méthodes de paiement — et nous ont fait part d’idées pour les améliorer.
Virement Interac pour les entreprises, c’est un service conçu pour éliminer certains des maux de tête liés aux paiements et pour répondre aux besoins d’entreprises canadiennes de toutes tailles. Cette solution aide les organisations à simplifier leurs processus de comptabilité, à viser l’élimination du papier et à traiter les paiements plus rapidement.
Examinons certains des problèmes courants en matière de paiements et les façons dont Virement Interac pour les entreprises peut aider votre enterprise à les résoudre.
Problème no 1 : L’attente
Les paiements commerciaux traditionnels et leur traitement peuvent exiger beaucoup de temps.
Quand votre organisation effectue ou reçoit un paiement, celui-ci est sans doute envoyé sous forme de chèque ou de virement électronique de fonds (VEF), qui demeurent les méthodes de paiement par défaut des entreprises de moyenne taille au Canada. En 2019, quelque 2,65 milliards de transactions ont été réalisées à l’aide de ces méthodes, représentant une valeur totale de 8,3 billions de dollars.
Il s’agit là d’une quantité énorme de capitaux d’exploitation qui sont bloqués, et pour combien de temps? Le traitement d’un VEF peut s’échelonner sur plusieurs jours ouvrables, alors qu’il faut souvent beaucoup plus longtemps pour recevoir un chèque par la poste — et encore plus pour que celui-ci soit compensé après avoir été déposé. (Et ce n’est pas bon marché non plus : selon une estimation, le traitement de chaque chèque peut coûter jusqu’à 15 $.)
À l’aube d’une nouvelle ère en matière de paiements, découlant en partie d’événements majeurs comme la pandémie, ces processus semblent encore moins pratiques. Par étonnant, donc, que les entreprises canadiennes soient prêtes à ajouter un autre outil à leur arsenal.
Solution no 1 : Des paiements plus rapides pour débloquer les flux de trésorerie
Avec Virement Interac pour les entreprises, les transactions sont instantanées (elles prennent moins de cinq secondes, pour être exact).
La rapidité est un avantage familier si vous figurez parmi la majorité de Canadiens qui utilisent régulièrement Virement Interac pour, par exemple, rembourser un ami ou répartir le coût d’un cadeau entre plusieurs personnes. Maintenant, avec Virement Interac pour les entreprises, ce peut être tout aussi rapide et facile de payer vos employés ou vos fournisseurs, ou de recevoir des paiements de la part de vos clients.
Problème no 2: L’incertitude des paiements commerciaux traditionnels
Quand le chèque va-t-il arriver par la poste? C’est souvent une énigme.
Certaines méthodes de traitement des paiements commerciaux, comme les chèques, ne procurent aucune visibilité aux entreprises pendant la durée du processus, c’est-à-dire que celles-ci n’ont aucun moyen de savoir quand (ou si) le paiement arrivera ou sera compensé.
De plus, avec les méthodes traditionnelles, peu de données sont rattachées aux paiements, voire aucune. C’est pourquoi les employés des services de comptes débiteurs doivent entreprendre un processus laborieux pour rapprocher chaque paiement avec la facture correspondante.
Selon les entreprises canadiennes, le manque d’information qui accompagne certaines méthodes de paiement peut semer la confusion à l’égard de l’affectation d’une somme donnée.
Solution no 2 : Des renseignements structurés pour adapter le traitement des paiements commericaux à vos processus de comptabilité
Le paiement a-t-il été effectué? La question ne devrait même pas se poser. Quand vous envoyez ou recevez un paiement avec Virement Interac pour les entreprises, celui-ci est traité sur-le-champ et la confirmation est immédiate.
Nous savons que les entreprises canadiennes recherchent aussi la transparence des paiements. C’est pourquoi les transactions Virement Interac pour les entreprises sont riches en données et conformes à ISO 20022, c’est-à-dire qu’elles s’accompagnent des renseignements structurés nécessaires pour faciliter le traitement — finis les jeux de devinettes.
Problème no 3 : Données désorganisées
Non seulement le processus de rapprochement est laborieux, mais il s’accompagne aussi d’un risque d’erreurs.
De plus, les données incluses avec un paiement sont souvent saisies manuellement et sont parfois nébuleuses. (Songez à la ligne mémo d’un chèque. Le message est-il toujours limpide?)
Les données qui accompagnent un paiement ou une facture sont aussi souvent désorganisées, en ce sens qu’elles ne peuvent généralement pas être saisies dans vos autres outils. Les entreprises restent donc tenues de composer avec des processus de paiement qui ne sont pas reliés à leurs services bancaires en ligne, à leur système de comptabilité interne ou à leur programme de planification des ressources d’entreprises (PRE).
Solution no 3 : Des données riches peuvent faciliter la mise en œuvre d’une stratégie d’élimination du papier
La richesse des données qui accompagnent les transactions Virement Interac pour les entreprises peut faciliter la mise en œuvre de solutions visant le traitement automatisé des paiements, l’optimisation du suivi de ces derniers et l’interopérabilité des logiciels des entreprises, ce qui permet donc de simplifier les processus de comptabilité.
Donc, non seulement l’adoption de Virement Interac pour les entreprises facilitera et accélérera les paiements, mais cette solution pourra aussi permettre l’automatisation et la simplification des processus de comptabilité numériques et aider votre organisation à mettre en œuvre une stratégie d’élimination du papier.
Le moment n’est-il pas venu de mettre fin à la tyrannie du payer et de simplifier les mouvements de l’argent?